Thursday, February 18, 2010

GUFATANYA KWABA NYA HAITI NYUMA YIBYAGO BYUMUTINGITO

Bavandimwe, rimwe kubera ibibazo twagiye duhura nabyo nkubwoko cyane cyane muri iyi myaka ishize biza nkibitumanyeho, bituma dusa nabirengagije ibindi bibazo nabyo byingutu bigwirira abandi bantu kuri iyi si twese dusangiye. Ubu umuntu yavuga nkibiheruka kubera muri Haiti, aho umutingito wasenye igihugu cyose ukanahitana imbaga yabantu barenga ibihumbi magana abiri.
Ariko icyo numva batwigisha nukuntu bafataniriza hamwe kwihangana no guhangana nibibazo byingutu bahuye nabyo. Natwe tugire uwo mutima wogufatanya, tureke ibidutesha igihe bidushukisha inyungu zabamwe zitagiricyo zizanabagezaho.

Iyi ntambara turimo, tuzayitsindisha gufatanya.
Ngoho murebe namwe aya ma Photo yabanya Haiti:

Mushobora nogu kopa iyi link kuri browser yanyu mubaye mutabonye ayo maphoto.

http://www.sacbee.com/static/weblogs/photos/2010/02/haiti-one-month-after-the-eart.html

Mboneyeho nokubamenyesha nkumwanditsi wa Journal Minembwe ko ndimo kwitegura kuja gutabara muri Haiti ngo nanje mwizina ryabanyamulenge (nubwo ataribo bantumye) nshireho akanje mugufata umugongo bariya bantu bahuye nisanganya.

Akim
Journal Minembwe

Monday, February 15, 2010

LA GUERRE DE FARDC CONTRE LA POPULATION BANYAMULENGE

La guerre de FARDC contre la population Banyamulenge persiste dans le Haut plateaux d`Itombwe et fait la violence des femmes Banyamulenge par les soldats du gouvernement un des strategies génocidaire contre ce peuple eternellement oppressé dans leur pays. Le territoire de Minembwe, chef lieu du haut plateux d`Itombwe,située au Sud de la province du Sud-Kivu, a été un lieu de refuge pour un groupe des soldats Banyamulenge qui ont exprimé leurs inquietudes de se joindre à l’armée congolaise (Fardc) apres une longue periode de guerre tribale et ethnique entre eux et la FARDC. Comme le gouvernement du RDCongo a volontairement échoué de leur garantir une bonne integration sécurisée dont ces militaires Banyamulenge posaient pour condition, ainsi ils deciderent de ce retirer pour Minembwe pret de leurs villages natales ou ils se sentaient plus ou moins en sécurité et furent consideré comme un groupe de militaires dissidents.

Alors que ce groupe de militaire courament connus comme FRF, n'ont jamais manifestés ou déclarés une intention de combattre contre le gouvernement de Kinshasa depuis qu`ils se sont retiré vers Minembwe, ils se regardaient toujours en chiens de faïence entre eux et les soldats loyalistes de FARDC.

Après plusieurs jours de combats entre ce petit groupe de FRF et des légions de FARDC, au cours de trois dernières semaine à Minembwe, le bilan s'est quasiment avéré lourdement négatif surtout du coté de l'armée congolaise. On dirait que c`est le combat entre David et Goliath, bien que malheureusement le FARDC comme d`habitude ciblent les femmes et filles des villages les violant sexuellement d`une facon extremement dramatique jusqu`a tuer certaines d`elle dans leurs ignobles actes de viole.

En plus des violes quotidiennes des femmes par la FARDC, la population Banyamulenge, continue d`abandonner leur villages et de perdre plusieurs vaches abattues par les troupes gouvernementales des FARDC. Comme d`habitude l`armée congolaise malgré sa multitudes des hommes des troupes, elle n`a jamais gagné aucune bataille sauf recourir aux attaques contre les villageois civiles et surtout aux violes des femmes et le pillages des biens des pauvres villageois.

on a appris que la MONUC comme toujours est restée indifferent envers la population Banyamulenge malgré leur mandant de proteger les civiles. Selon l`Obsac, « À la suite de ce nième revers des FARDC sur les Hauts Plateaux, on a appris que le commandant des troupes expéditionnaires aurait ordonné l'arrêt de l'offensive et qu'il chercherait à ouvrir des négociations avec les FRF. De plus, on apprend aussi qu'il y aurait dissension au sein de la MONUC au sujet de la nécessité de cette nouvelle offensive sur les Hauts Plateaux.» Il ajoute que « Le responsable civil du bureau de la MONUC à Uvira, un Belge du nom de Bernard Leloup, connu à Bruxelles comme un agent des services de sureté du renseignement belge, qui avait soutenu contre vents et marées les FARDC dans cette offensive, aurait maintenant été désavoué par sa hiérarchie.»

Nos sources sur terrain affirment que les autorités militaires ont menacé de maitre en prison les autorités civiles (chefs des localités) Banyamulenge afin de destabiliser toute la population sous-pretexte qu`ils soutiennent le groupe Gumino de FRF. Pour tant ces autorités civiles des hauts plateaux de Minembwe ce sont engagés depuis longtemps dans la sensibilisation des insurgés du groupe dit des GUMINO et avaient sollicité l’appui du gouverneur de province afin que ce groupe militaire soit entendu et integré tenant compte de leurs doléances.

Une chose est certaine: l`armée de FARDC subira comme toujours un grand échec contre ce petit group des militaires Banyamulenge n`ont pas parce que ce groupe est plus fort en armément, mais parce qu`ils se battent pour leurs survie. Bien qu`ils victimisent la population Banyamulenge comme toujours. Ce n`est pas la premiere ni la 5eme fois que les troupes immoraux de FARDC échoue et ne serait-il pas la derniere.

Journale Minembwe
www.mulenge.blogspot.com

Monday, February 1, 2010

BANYAMULENGE ATTAQUE ENCORE PAR LES FORCES GOUVERNEMENTALES DU DRCongo

Depuis le dimanche 24 février 2010, les hauts plateaux d'Uvira sont de nouveau en ébullition.La région est sous le feu des armées gouvernementales appuyées par Amani Leo dont la mission, tout le monde le sait, est de '' traquer les FDLR, les contraindre à déposer les armes pour un retour paisible dans leur pays d'origine, le Rwanda''. Force est de constater que cette mission soit déviée, pour des raisons qui restent difficiles à comprendre et ce au détriment de la population civile et ciblée de Banyamulenge.

L'armée gouvernementale traque GUMINO dit le FRF et à travers lui, la population civile de Banyamulenge. Des villages entiers de localité de Kamombo, Mikarati, Mikenke, Gitasha ont été agressés et les populations jetées dehors, depuis le déclenchement des hostilités jusqu'à ce jour. Des femmes et enfants passent la nuit en brousse, sous la belle étoile n'ayant ni à manger ni à boire ni couverture. Certains se sont sauvés en catastrophe et restent difficilement localisables. En tout cas la situation telle qu'elle se présente à présent risque de donner l'impression d'un second Haiti si les forces du gouverement n'arrêtent pas les combats mais surtout si les instances humanitaires n'arrivent pas au secours d'une population chassée dans ses biens et meurtrie. Imaginez -vous les hommes et les femmes, vieillards et enfants jetés en brousse sous des pluies torrentielles de campagne en ce mois de février et où le froid est comparable à celui de l'Europe méridionale avec des grêlons à la place de la neige.

Pire, les Banyamulenge ne comprennent pas ce qui leur arrive !

Le Gumino Frf pour lequel ils sont attaqués, leurs vaches fusillées et des maisons brûlées, vit avec eux depuis 2007.
1. Il a participé à la Conférence sur la Paix, la Sécurité et le développement tenue à Goma en Janvier 2008 ainsi qu'à toutes les autres négocitions qui ont suivi dans le cadre du Programme Amani. Le FRF a fait partie des groupes invités par le facilitateur Obassanjo dans les négociations de Nairobi.
2. Gumino a toujours été en contact avec les autorités congolaises, civiles et militaires et recoit régulièrement leur visite à Kamombo.
3. Gumino vit ensemble avec la mission de NU au Congo, la Monuc( un détachement des casques bleus Pakistanais)

Alors, personne dans les hauts plateaux n'est informé de ce brutal revirement de l'état congolais. Et quand bien même le gouvernement soit en droit de faire ce qu'il veut quand où il veut, la moindre de chose serait somme toutes, de procéder à l'évacution des populations civiles avant de déclencher la guerre contre ses gouvernés dont il a le devoir de protéger.Rappelez- vous que c'est ce qui se fait partout ailleurs dans le monde.

L'ouverture d'un feu ciblé laisse alors penser que le pouvoir de Joseph Kabila fait marche arrière et s'emprend aux Banyamulenge comme celui de Mobutu des années 1996. Il est totalement inadmissible qu' à chaque bout de deux moix, les Banyamulenge se retrouvent en face d'un feu nourri et se voient tomber des obus de mortiers sur leurs têtes de la part des forces gouvernementales sans avertissement préalable digne d'un Etat responsable. Pis, il existe onze groupes armés dans le sud kivu au total. Mais seul Gumino FRF est visé. S'agit-il franchement de lui qui soit sélectivement ciblé ou la traque mesquine de Banyamulenge indésirables ? La fermeture des frontières au retour des réfugiés banyamulenge à Gatumba et ailleurs en dit long comme un bras.

Nous avertissons le monde et notamment l'ONU, les USA, U.E, les organisations polititiques et humanitaires que Mulenge est à fait et à sang et pour rien !

Par
Jean Scohier Muhamiriza
Dpt Politique FRF

Suède